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&& P r é l u d e [*] Nom : { Hefner }
[*] Prénom(s) : { Anton }
[*] Age : { 28 }
[*] Groupe :{ I’m a witch, bitch }
NOTE : Je me donne un genre volontairement vulgaire. Ça fait du bien, une fois de temps à autre. Dites-moi si vous jugez que je vais parfois trop loin :)
&& S o n a t e PRELUDE
Hefner, hein ? Et ben ouais, Hefner, THE Hefner. Comme dans Hugh « mon père qui s’en branle » Hefner. Quoi, vous ne le connaissez pas ? Allez, ne jouez pas au prude avec moi… Et si vous avez vécu les 50 dernières années dans un putain de couvent de bonnes sœurs, et bien il est grand temps de votre mettre au goût du jour et de googler « Hugh Hefner »(je vous suggère d’ailleurs de lancer une recherche dans la section image). Vous ne verrez aucune mention de moi, mais au moins, ça vous permettra de me comprendre un peu plus. Vous pouvez aussi décider de vous foutre de mon existence et de m’envoyer me faire mettre : je vous comprendrais parfaitement, parce que c’est exactement ce que je pense à votre propos…
Alors oui, je suis le fils du milliardaire du sexe Hugh Hefner, et de Miss Mai 81 qui, dans un éclat de joie jubilatoire d’avoir vu ses seins nus lorsqu’elle a ouvert la page centrale du magazine dont elle porte le nom, décida d’ouvrir ses cuisses à son philanthrope d’employeur : mon pervers de père. Pas de chance pour la Bunny, en plus d’être une convertie pro-vie, elle est tombé du mauvais côté du 99% de probabilité de sécurité. Résultat ?
Let me introduce to you the Manly, the Godly, the « Who Invited This Fucker », AN-TON, HEFFFFFF-NER!!
Mon père était heureusement fort habitué de gérer l’existence de petit bâtard dans mon genre (vous n’avez jamais trouvé louche que cet icône de la masculinité ait un chromosome Y TELLEMENT fort que malgré le nombre incroyable de fois où il s’est trempé le pinceau, il n’ait jamais conçu de Miss USA junior ? Je me suis prêté à l’exercice un jour, et j’ai arrêté de chercher après ma douzième demi-sœur…), et bien que je ne sois pas techniquement un véritable Hefner face à la loi, il m’a laissé d’opportunité d’évoluer dans son monde chaud, douillet et siliconé. Le seul contact que j’ai eu avec mon père à été par le biais d’un de ses sous avocats (même pas son avocat principal en plus, ce pourquoi je lui en voudrai jusqu’à la fin de ses jours.)
« Anton, vous êtes une merde, en plus d’une honte. Nous vous verserons 500 000 dollars maintenant, et 25 000 par année, si vous disparaissez de la surface du globe de votre propre gré. » « Enculeur de poule morte… » « Je savais que vous seriez compréhensif. Ce fut un plaisir de vous connaître, lèche-gosses. Sois sage, et va crever dans ton trou maintenant. » Mes relations avec ma mère n’ont pas été guère plus grandioses, si ce n’est qu’elle m’a permis de bafouer à la fois les lois criminelles américaines, les lois de la nature ainsi que celle du bon goût en m’offrant un rôle clé dans le film qui mit fin à sa carrière d’actrice : « Deep Cleave and the Horny Minimoys ». Et même si, de son vivant, elle m’a toujours désigné sous l’agréable dénomination de « sale suceur de tétons inapte », je lui serai toujours reconnaissant d’avoir fait de moi le plus jeune acteur porno de tous les temps…
Mon seul réconfort a été de me dire qu’au fond, puisque j’étais né la même date que Charles Darwin, j’étais inévitablement le fils spirituel de ce grand homme, et de son œuvre inachevée. Tout le monde se raccroche à ce qu’il peut!
Mais bon, je ne vais pas vous cacher que le fait d’être le fils de Hugh Hefner a ses avantages. Pensez-y trois secondes : je vivais dans un environnement envahi de pétasses, où le sexe est un art quotidien et l’éducation un exutoire pour les moches qui sont trop lâches pour mettre fin à leur existence de merde, et où le divertissement se chiffre en millions de dollars. Quelqu’un veut échanger ? Dans tes rêves, couillons!
L’oisiveté a toujours des limites, et vint un temps où je dus décider de faire quelque chose de mon existence. Bien entendu, je n’en fis rien, et opta plutôt pour choisir vers quelle alternative plaisante je pourrais me tourner pour repousser éternellement la fixation de mon destin. Je commençai par l’alcool, mais je finissais beaucoup trop souvent à mon goût par gerber partout. Et en plus, la bière, c’est calorifique.
Alcool : Failed
Je me lançai donc dans les drogues de plus en plus dures. Je ne garde que peu de souvenirs de cette époque, si ce n’est que cette période de débauche m’a permis de me rapprocher suffisamment de Paris Hilton pour savoir qu’elle a développé durant au moins une partie de sa vie un fétichisme envers les bas blancs. C’est également à la suite d’une soirée particulièrement intense où je pris conscience d’une réalité presqu’encore plus troublante…
Soyons honnête, j’avais abusé, et à un point tel que je pouvais affirmer hors de tout doute que j’avais même abusé dans la variété de mes sources d’abus. C’est dire. C’était l’anniversaire d’un type lambda, mais riche à craquer, et comme j’avais conservé par mal d’amies sexy comme seul héritage familial, j’étais le genre de type que l’on voulait savoir présent à ses anniversaires. Bref, à un moment j’ai commencé à me sentir horriblement mal, et j’ai su que j’avais overdosé… Je me suis mis à vomir à droite et à gauche dans un état quasi comateux et je savais que j’allais mourir. J’avais tellement une trouille de tous les dieux que je crois que je me suis pissé dessus. C’est bête : ma vie n’allait strictement nulle part, mais face à l’éminence de ma mort, comme j’en étais follement amoureux, soudainement! Dans un intense éclat douloureux, j’eus ensuite l’impression de sortir de mon corps, littéralement. Et l’instant suivi, juste avant que je ne perde connaissance, j’eus l’impression que j’étais en train de manger vivant un pauvre type qui hurlait comme un dément. Moi qui m’attendais à une image de lumière blanche au bout d’un tunnel, j’en avais eu pour mon argent….
Contre toute attente, je repris connaissance. J’étais sur un plancher froid, et complètement nu. À ma gauche, un autre type était couché sur le sol, mais à mon grand soulagement, lui avait conservé ses vêtements. Je me redressai avec un mal de bloc incroyable, puis fit mon malin en disant que ça avait été une putain de soirée hier soir. L’autre ne me répondit pas. Du pied, je lui retournai la tête sur le côté, pour m’assurer qu’il ne s’étouffait pas avec son propre vomit, puis je pris son pouls. Ou du moins, je tentai de le faire, car je n’en trouvai aucun. Mon réflexe fut de m’enfuir à toute jambe : après tout, j’avais peut-être moi-même étranglé le pauvre type. Mon second fut de lui piquer pantalons, chaussures et veste, et de me sauver au pas de course du McDonalds où je me trouvais.
Guns ‘n’ Assholes
Cette mystérieuse expérience me poussa à reprendre ma vie en main. L’alcoolisme et la toxicomanie n’étant définitivement pas pour moi, l’industrie du sexe m’étant interdite à cause d’une saloperie contrat que j’avais signé quand j’étais bourré, je n’avais aucune idée d’où me diriger. Je fis donc ce que tout bon désœuvré fait lorsqu’il se retrouve dans une telle situation : j’allai chercher conseil auprès de mon dealer. Je lui exposai ma situation, et sans aucune hésitation, il me référa au milieu du trafic d’armes. Logique.
Les choses se passèrent bien pour moi dans ce milieu. J’étais habitué à fréquenter ce genre de milieu, j’avais toujours mes bonnes et nymphomanes amies, je n’avais aucune dépendance frappante, mais surtout, j’avais la gueule de l’emploi. J’étais fait pour vendre des armes (et pour me faire fellationner par Kirsten Dunst. Ce à quoi la principale intéressée acquiesça, tandis qu’elle traînait dans des milieux peu fréquentables durant une partie difficile de son existence de nouvelle star en vogue). J’inspirais confiance, j’avais le chic pour développer des amitiés professionnelles, j’étais sûr de moi, audacieux et j’avais le don de me trouver au bon endroit au bon moment. Tellement qu’à 26 ans, j’aurais pu voler de mes propres ailes! Je ne le savais pas encore, mais mon patron, lui, le croyait. Et comme tout trafiquant d’arme qui se respecte, il décida de m’abattre avant que je ne devienne un véritable concurrent. Ce fut aussi efficace que désagréable…
J’étais toute bonnement en train de me farcir une prostituée turc lorsque quatre types en noirs débarquèrent chez moi et, sans flafla, me criblèrent d’une vingtaine de balles malgré mes protestations véhémentes…
Je me réveillai en sursaut comme d’un mauvais rêve, en sueur. J’étais nu, et étendu sur un parquet frais d’une toilette publique. À ma droite gisait un homme d’une soixantaine d’année, heureusement vêtu. Inquiet, et quasiment angoissé, je mis ma main sur sa gorge froide…avant de lui chopper son chapeau et son imper et de sortir du McDonalds d’Istanbul où je me trouvais, à trois kilomètres de mon hôtel. D’affreux doutes m’assaillirent alors…
Après une bonne cuite, j’osai repasser dans ma chambre. L’on m’en interdit l’accès, car un crime venait d’y être perpétrer. Je n’avais jamais été du genre ésotérique, mais là, j’en demeurai le souffle coupé. J’avais cependant un
détail à régler avant de m’interroger sur ce phénomène…
Cashback
Huit heures plus tard, je faisais éclater de ma botte le crâne de mon patron/assassin. J’avais retrouvé les 4 types qui m’avaient flingué, et je les avais persuadés qu’ils avaient beaucoup plus à gagner à me servir. Tandis que je reprenais les rennes de notre petit commerce de grosses armes, ma réputation se répandit dans le milieu comme la syphilis dans un bordel thaïlandais, et je dois avouer que sans cette tentative, non, cette réussite de meurtre à mon égard, jamais je n’aurais pus me tailler la place de lion que j’occupais présentement dans cette industrie.
Jamais deux sans trois
Il me restait cependant un mystère à résoudre. Quatre mois plus tard, je me saoulai à nouveau consciencieusement, et seul dans une chambre d’hôtel miteuse, j’entrepris de jouer à roulette russe avec moi-même. Je sais, c’était une idée complètement stupide, mais j’avais déjà l’impression que j’aurais dû mourir deux fois, et donc, de vivre sur du temps emprunté. Au troisième « clic », mes nerfs craquèrent, et je me dis que peut-être cela ne fonctionnerait que si quelqu’un d’autre tentait de me tuer ? Je décidai de joindre l’utile à l’agréable, et de mener moi-même un raid contre un concurrent qui tentait de s’approprier une partie de mon territoire. Encore une fois, le rhum fut mon allié pour éteindre mon instinct de survie, et je me lançai comme une furie défoncée dans la mêlé avec mon fidèle fusil à pompe. Mon attitude effraya bon nombre de nos opposants et stimula les miens, et je demeurai vivant 10 bonnes minutes de plus que le bon sens ne l’autorisait. Éventuellement, les probabilités me rattrapèrent, et je me pris une rafale de semi-automatique en pleine gueule.
Vous ne pouvez vous imaginez la joie exubérante qui me gagna lorsque je ressentis le froid familier d’un carrelage de toilette du McDonald. J’en embrassai même le cadavre qui gisait à mes côtés tellement j’étais excité. J’étais immortel!!
Parce qu’il y a toujours des fils de pute dans une belle histoire…
Six mois plus tard, j’eus mes premiers contacts avec l’Organisation. J’avais entendu quelques rumeurs comme quoi quelqu’un tentait de me contacter, et éventuellement, je fus victime d’un enlèvement. J’étais prudent, mais ils étaient doués. Je me retrouvai dans un petit bureau glauque et sombre où l’on me posa une série de questions, et je compris finalement où le mec qui se trouvait devant moi tentait de m’emmener. Il devait faire partie d’un groupe qui surveillait les phénomènes paranormaux, où je ne sais quoi du genre, et malgré mes mensonges éhontés et mon attitude effronté, je savais hors de doute qu’il savait, et que c’était mauvais pour moi…
Lorsqu’il me laissa seul, je pressentais qu’ils ne me laisseraient pas partir de cet endroit. Dans une action complètement folle et désespérée, sur laquelle il m’arrive de repenser en frissonnant la nuit, je me plantai un crayon à travers l’œil jusque dans le thalamus. Deux minutes plus tard, je me réveillai dans un McDonalds de Londres, que je supposais près de l’endroit où l’on m’avait séquestré. Je m’enfuis sans demander mon reste, et depuis ce jour, bien que je ne les aie jamais revus, je suis persuadé qu’ils n’attendent qu’une occasion de me remettre la main-dessus. Et s’ils y parviennent, je ne m’en tirerai pas aussi facilement…
Toujours est-il que je ne m’empêcherai pas de vivre pour ça! J’ai augmenté mes dépenses liés à ma sécurité personnelles et je reste aussi loin que possible de Londres dans le cadre de mes activités. Par ailleurs, j’ai récemment ajouté la piraterie à mon registre, et je dois avouer que je trouve cela complètement bandant, littéralement.
[*] Résumé :{ Anton est un individu misogyne, misanthrope, vulgaire, méprisant, imbu de lui-même et de ses plaisirs personnels, mais cependant audacieux, assuré, d’une franchise totale et d’une jovialité à toute épreuve. Il aime la vie et sait la rendre intéressante. Il craint et par conséquent hait l’Organisation, sans toutefois avoir pris des mesures contre elle. Il se contente de se tenir aussi hors de portée que possible. Leader d’un regroupement de trafic d’arme reconnu mondialement et pirate à ses heures, il a la réputation de posséder une chance hallucinante et de survivre face à des probabilités ridiculement basse. La réalité est qu’il possède un pouvoir de résurrection qui lui permet de se réveiller dans le McDonald le plus près alors qu’il devrait mourir. Son pouvoir requiert cependant la force vitale de quelqu’un pour pouvoir être fonctionnel. Sa couverture est celle d’un riche financier, et il possède de très nombreuses connaissances dans les milieux huppés de ce monde. Il n’est pas rare de voir des sportifs, des acteurs ou des mannequins sur l’un de ses yachts privé. }
&& N o c t u r n e[*] Avatar du personnage :Josh Holloway
[*] Pseudos courants : Miz
[*] Age : 25
[*] Comment avez-vous connu le forum ? Par mon alter ego!
[*] Estimation de la fréquentation du forum ? Daily. Cependant, en tant que perso secondaire, je n’ai pas l’intention de lui faire mener plus d’un rp à la fois. Sauf circonstances extraordinaires :)
Autre : j'ai vraiment, mais VRAIMENT besoin d'un coup de pouce pour me trouver un avatar décent!! Je vous promet ce que vous voulez si vous me bidouiller un truc sympa :)